vers une meilleure apprehension des ressources en eau et une gestion des milieux durable?
nouveaux éclairages
La gestion quantitative et qualitative durable des ressources naturelles, l’eau en particulier, et la maîtrise du changement global sont au coeur des 17 Objectifs de Développement Durable à l’horizon 2030 adoptés par les pays de l’ONU et de l’Accord de Paris signé en 2016.
Dans un monde qui connait de profonds bouleversements; progrès techniques, scientifiques et d’innovations associés aux modes de productions agricole et énergétique et à l’aménagement des territoires, nécessitent de nouveaux éclairages, notamment en ce qui concerne l’utilisation des ressources, les valeurs indirectes et les valeurs de non-usage.
nouveaux outils
La valeur ajoutée des données réside dans leur analyse, leur présentation (design, visuels, cartographie…) et dans notre capacité à proposer des réponses adaptées aux besoins des utilisateurs qu’ils soient chercheurs, industriels, gestionnaires, bailleurs, décideurs.
Les applications en effet sont nombreuses et variées: elles concernent notamment la caractérisation des impacts de l'activité anthropique sur l'environnement et du changement climatique, l’évolution de la demande sur la ressource, les liens entre les acteurs, les actions et les impacts. Il s’agit ensuite d’examiner comment ces liens évoluent et comment les partenariats ouvrent des voies de coopérations scientifiques, techniques et de nouvelle gouvernance.
nouveaux besoins
La modélisation des impacts des changements globaux sur l’hydrologie et les usages et le développement d’outils d’aide à la décision dans un contexte de pressions croissantes sur les ressources. Il est essentiel de travailler à la définition des besoins des territoires, aux niveaux stratégique et opérationnel, en prenant en compte les spécificités métiers et les expertises diverses.
nouveaux services
La mise en place de nouveaux outils et services opérationnels apportent une précision inédite dans la gestion des ressources, la conception d’infrastructures et de systèmes durables et les exercises de prospective.
Le suivi de l’érosion littorale, les évolutions de trait de côte sous l’effet de la montée du niveau marin, le suivi des surfaces enneigées et des glaciers, le monitoring de la quantité et qualité des eaux, ou encore l’aide à la navigation fluviale constituent de nouveaux champs de compétences et d’expertises et de nouvelles pratiques toujours plus précise, permettant d’appréhender l’évolution des paramètres de l’environnement, aux différentes échelles des territoires, tant sur les océans que sur les continents et sur de longues périodes d’enregistrement.